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table des matières
FERRO(FERRI)MAGNÉTISME:
tracé et étude d'un CYCLE D'HYSTÉRÉSIS

I Objectifs
II Montage et réglages pour l'acquisition
III Mesures
IV Étude du cycle d'hystérésis du matériau
V Comparaison de différents matériaux dans des
pages d'acquisitions successives
Fichier
Word correspondant

I Objectifs
 | Tracer point par point une courbe de première aimantation |
 | Tracer point par point un cycle d'hystérésis |
 | Conserver l'ordre d'acquisition des points après transfert dans Regressi |
 | Mettre en évidence le caractère de matériau magnétique 'dur 'ou
'doux' à partir d'objets usuels (outils, etc.) |
 | Définir les grandeurs caractéristiques associées: intensité ou
excitation coercitive, champ rémanent |
 | Calculer l'aire d'un cycle pour comparer différents matériaux entre eux |
 | Faire un parallèle entre le ferromagnétisme et le ferrimagnétisme |
 | Justifier à partir de cette étude le choix d'un type de matériau
magnétique en fonction de sa destination (tôles de transformateur, matière première
d'un aimant, noyau d'un bobinage HF pour cadre de réception PO / GO, etc.). |
|
 |
Remarque: le principe de ce T.P. est dû en particulier à
l'aimable collaboration de Guy Lefèvre du groupe Évariste, que je remercie.
A. Principe
Le matériau magnétique est placé à
l'intérieur d'une bobine. Le courant d'excitation dans la bobine est réglé manuellement
de façon à faire décrire au matériau son cycle d'hystérésis en même temps que se
fait l'acquisition du courant d'excitation et du champ magnétique dans le matériau.
B. Circuit électrique

Il doit comporter:
 | une grosse bobine de type 'Labo' |
 | un générateur de courant 0-1 A (suffisant dans la plupart des cas pour observer le
début de la saturation); sinon, pour une bobine de résistance 10 ohms, prévoir une
source de tension 0-10 V et un rhéostat de réglage de 200 ohms environ |
 | un dispositif de mesure ou d'acquisition automatique de l'intensité excitatrice
avec
son signe algébrique: soit un ampèremètre, soit, mieux, un shunt (=résistor de
précision) de 1 ohm placé en série avec la bobine (ATTENTION: Imax=1 A! Prévoir donc
une puissance dissipable suffisante) |
 | le raccordement de la sonde teslamétrique à ORPHY. |
Il est 'confortable' de prévoir un commutateur avec inverseur entre le
générateur et la bobine pour inverser le sens du courant en cours de cycle lorsque la
valeur du champ magnétique rémanent est atteinte.
C. Matériau magnétique étudié
Les grosses bobines de type 'Labo' comportent en
général un noyau coulissant qu'il faut retirer pour le remplacer par le matériau
magnétique. Ce matériau sera constitué tour à tour de différentes tiges droites en
fer doux, acier dur, etc. choisies parmi les objets usuels de l'atelier du laboratoire:
une tige filetée, un chasse-goupille, une lame de scie à métaux, une lime, une broche
de maçon ou un burin, etc. Pour le ferrimagnétisme, le mieux est de prendre les tiges de
ferrite utilisées pour l'enseignement de la Spécialité sciences physiques en classe de
Terminale S.
 | Cette tige doit être immobilisée dans un support, ou bien placée de
façon symétrique par rapport au centre de la bobine afin qu'elle ne soit pas
"avalée" par la bobine lorsque l'excitation magnétique croît. |
 | Pour le tracé d'une courbe de 1 ère aimantation, il faut désaimanter
préalablement le matériau en le plaçant quelques instants à l'intérieur d'une bobine
alimentée par une tension alternative dont on fait décroître l'amplitude jusqu'à
zéro. |
 | La sonde teslamétrique, immobilisée dans un support, est placée de
façon que son petit capteur touche une extrémité
de la tige(1) de fer ou de l'acier à étudier |
 | Sous l'autre extrémité de la tige (à environ 1 cm), il peut être
judicieux de disposer de la limaille de fer pour voir celle-ci rester soulevée sous
l'action du champ rémanent lorsqu'on annule l'excitation, puis retomber lorsqu'on atteint
l'excitation coercitive, au cours du tracé du cycle d'hystérésis. |
D. Le capteur teslamétrique: nouveau capteur M12P302 pour
prise DB15
(NB: pour l'ancien
capteur à prise DIN 6 broches, voir paragraphe suivant)
Les capteurs de cette nouvelle série pour prises DB15 (prises
G, H, etc.) sont des capteurs à reconnaissance automatique: BRANCHEZ ET CA
MARCHE!
Dès que le capteur est branché, le logiciel d'acquisition actualise
l'affichage des voies actives pour le faire apparaître.
AVANT:

|
APRÈS:
|
|
(1) BRANCHER:

|
(2) ETALONNER:
CLIQUER sur la zone d'affichage du capteur
pour accéder au bouton d'étalonnage:
|
 |
 |
L'étalonnage s'effectue alors
automatiquement: la tension de décalage (="offset") est
corrigée de façon logicielle jusqu'à l'obtention du zéro.
|
NB: L'étalonnage n'est pas
mémorisé par le système: il doit être repris à chaque
branchement du capteur et/ou à chaque nouvelle session du logiciel
d'acquisition.
E. Le capteur teslamétrique: ancien capteur M10416 avec
prise din 6 broches
(pour le nouveau capteur
à prise DB 15 broches, voir paragraphe précédent)
1. Présentation et mise en oeuvre
 | Ce réglage de zéro demande à être repris plusieurs fois en cours de
mesures (par exemple toutes les 10 mesures). |
 | Le sens choisi pour placer la sonde conditionne le
signe avec lequel est mesuré B. |
2. Visionner le branchement du
teslamètre et le réglage du zéro
F.
Réglages logiciels
Abscisse: |
Voies actives: |
Enregistrement: |
Acquisition: |
EA x
ou
clavier:
I (A)
|
EA: |
Variable: |
Signe: |
Cal: |
Unité: |
Par point |
Frappe barre d'espace
ou
clic sur bouton
|
EADx
(**) |
B |
± |
50 |
mT |
|
* avec ORPHY-PORTABLE 2:
brancher capsule Teslamètre.
(**) avec ORPHY-GTI2 ou GTS2, choisir EAD0 sur la prise
G et calibre ±50 mT.
Deux cas sont à envisager pour la configuration de l'abscisse:
1.Cas de la saisie au clavier de l'intensité
Lors de la configuration de l'abscisse clavier, il faut
indiquer au logiciel les extrema des valeurs de l'intensité qui seront utilisées au
cours du cycle; cela demande donc un essai préalable pour déterminer l'intensité
nécessaire à la saturation du matériau magnétique.
2.Cas de l'acquisition automatique par shunt
Le résistor s (shunt d'acquisition) est destiné
à permettre indirectement l'acquisition de l'intensité i dans le circuit série
par l'intermédiaire de la tension entre ses bornes; prévoir une résistance de
précision de 1 ohm (ATTENTION à sa puissance dissipable: Imax=1 A!), ce qui est
largement suffisant pour obtenir une tension de 1 V, et rendra très simple l'étalonnage
direct en intensité.
 |
Une solution peut être, en effet, de
déclarer sur EAx un capteur d'intensité (le shunt s) et de rentrer lors de
son étalonnage manuel la correspondance: |
tension sur EAx (us en V): |
grandeur mesurée
(I en mA): |
0 |
0 |
1 |
1/s= 1 mA |
Sinon, la variable intensité sera
créée à partir de la variable UEA après le transfert vers Regressi. |
Débuter l'acquisition pré réglée:
A. Préliminaires
 | Brancher la sonde teslamétrique sur Orphy et mettre l'interface sous tension une
dizaine de minutes avant le début des mesures de façon que les circuits intégrés du
capteur se soient stabilisés en température, ce qui diminue le risque de dérive du
réglage de zéro suivant |
 | Réaliser le zéro de la sonde teslamétrique en l'absence de champ magnétique
(I = 0). Sans faire d'acquisition, la vérification est très facile à faire en observant
la position verticale du curseur sur l'écran d'acquisition: amener cette position sur la
valeur 0 en réglant le bouton de décalage (petite vis située à la base du bras porte
sonde) |
 | Ce réglage de zéro ne pourra pas être repris en cours de mesures soit parce
que l'annulation du courant aurait pour effet d'interrompre le tracé du cycle en cours,
soit à cause du champ magnétique rémanent lorsque I = 0. |
 | Le côté choisi pour placer la sonde (donc son sens), et les polarités
du générateur, déterminent le sens de au
début de l'expérience: en fonction des choix faits, il se peut que dans ces conditions:
 | I commence par être négative: inverser dans ce cas les liaisons
d'Orphy aux bornes du shunt |
 | B commence par être négatif: changer le sens du courant dans la
bobine seule (permuter les branchements à ses extrémités) da façon à ne pas modifier
en même temps le sens de I. |
|
|
 |
B. Protocole d'acquisition
 | Commencer avec I = 0; observer s'il existe un champ rémanent et tracer point par
point la courbe de première (ou deuxième aimantation), en faisant croître l'intensité
par petits pas sans jamais revenir en arrière, à cause de l'hystérésis. Chaque
validation enregistre la nouvelle valeur de B en même temps que celle de l'intensité. |
 | Augmenter I jusqu'à 1 A, puis la diminuer jusqu'à 0: observer alors (sauf pour
le fer doux) le champ rémanent en même temps que la limaille reste collée à la tige. |
 | Inverser le sens du courant et recommencer de même, en notant bien que la
limaille ne retombe que lorsque I atteint la valeur dite coercitive. |
 | Poursuivre comme précédemment jusqu'à (-Imax) puis 0 à nouveau; noter encore
l'hystérésis éventuel en l'absence de courant. |
 | Inverser à nouveau le sens du courant (qui se retrouve donc dans le sens
primitif) pour terminer le cycle complet. |
 | Transférer l'ensemble de l'acquisition vers Regressi. |
Si une intensité maximale de 1 A s'avère insuffisante pour saturer
franchement le matériau, augmenter Imax et utiliser un calibre de mesure plus
grand (EA0 à EA3 avec GTS).
C. Variables transférées
Ä num,
I et B.
Dans la fenêtre 'Graphiques' (menu Fenêtre/graphe Variables),
cliquer-D pour choisir 'Coordonnées' dans le menu contextuel, ou cliquer-G sur l'icône
correspondante et choisir ou vérifier qu'on a bien :
 | I (ou UEAx suivant le choix fait de variable d'acquisition)
en abscisses |
 | B en ordonnées (à gauche) |
On a ainsi la représentation graphique de B = f(I).
Ä
Il faut penser à indiquer sous forme de commentaire dans la boîte de
dialogue du transfert le type de matériau utilisé dans chaque page d'acquisition pour
pouvoir différencier ultérieurement tous ceux qui ont été utilisés.
A. Visualisation
Dans la fenêtre 'Grandeurs':
 | Créer la nouvelle grandeur I, si celle-ci n'a pas fait l'objet d'un étalonnage
direct lors de l'acquisition; saisir directement dans une nouvelle ligne du 'mémo' de
l'onglet 'Expressions': |
I = UEA
I = UEAx / 1_A
en respectant exactement la syntaxe du trait de soulignement _A,
destinée à créer simultanément l'unité de I (l'unité correspondante n'a pu
être trouvée par le programme puisque celui-ci ignore a priori la dimension de s).
Valider(2) par la touche 'F2' ou en
cliquant-G sur l'icône clignotante ; le résultat
apparaît alors dans une nouvelle colonne de l'onglet 'Variables'; vérifier dans l'onglet
'Unités' la présence de la nouvelle unité.
 | Le nom d'une variable peut être modifié ultérieurement à sa création
par double-clic sur la tête de colonne correspondante dans l'onglet 'Variables': il
suffit alors de renseigner la boîte de dialogue qui s'ouvre. |
B. Grandeurs caractéristiques du cycle

Charger le fichier
Regressi
 | (si on a créé I à partir de UEAx) Dans la fenêtre
'Graphiques' (menu Fenêtre/graphe Variables), clic-D pour choisir 'Coordonnées' dans le
menu contextuel, ou clic-G sur l'icône correspondante ;
et sélectionner alors:
 | I en abscisses |
 | B en ordonnées, à gauche |
|
Observer le graphique B = f(I) qui doit se présenter
sous forme de cycle. Si ce n'était pas le cas, il faudrait demander au logiciel de trier
les valeurs en fonction du paramètre d'acquisition num: menu 'Pages / Trier', ou
bien dans la fenêtre 'Grandeurs' cliquer-D dans l'onglet 'Grandeurs' pour choisir 'Trier
variables' dans le menu contextuel ou cliquer-G sur l'icône :
choisir alors le paramètre num dans la boîte de dialogue qui s'ouvre.
Remarquer les valeurs particulières des points d'intersection
avec les axes: ± Br, et ± Ic.
 | On peut annoter le graphique par des commentaires au moyen du curseur
'Texte': choisir ce curseur et effectuer un cliquer tirer du pointeur. Dans la boîte de
dialogue qui s'ouvre, saisir un texte dans l'onglet 'Texte', puis choisir dans l'onglet
'Options' la flèche et la ligne de rappel: après validation, le texte et la flèche
apparaissent; un cliquer-glisser sur ces objets permet de les déplacer, et un double
clic-G permet de les éditer (=modifier une de leurs caractéristiques) |
 | Le titre se place en sélectionnant le curseur 'Texte' puis en cliquant-G
à l'endroit souhaité du graphique (le choix du paramètre %S dans l'onglet 'Texte' de la
boîte de dialogue associée insère automatiquement le commentaire de page tel qu'il
figure dans la partie droite de la barre d'icônes principale de Regressi). On peut
ménager un peu d'espace entre le haut de la courbe et celui du graphique en imposant un
maximum plus grand pour l'axe B avec l'icône d'échelle manuelle. |
C. Pertes par hystérésis: calcul de l'aire du cycle
Les pertes par hystérésis dans un matériau
magnétique sont proportionnelles à l'aire S de son cycle d'hystérésis; elles
sont données en watts par la relation:
p = k*f*S
où f représente la fréquence de variation de l'excitation
magnétique. La mesure de cette aire S constitue donc une donnée physique
importante. |
 |
Revenir dans la fenêtre 'Grandeurs', onglet 'Expressions', et y saisir
directement dans une nouvelle ligne:
aire = INTG(B, I).
(NB: On peut aussi utiliser la fonction aire(B,I) qui
donne la valeur de la surface définie par I et B.)
La grandeur correspondante apparaît dans une nouvelle
colonne de l'onglet 'Variables', où chaque ligne représente la valeur de l'intégrale
avec un terme supplémentaire dans la sommation; c'est donc seulement le dernière
ligne de ces valeurs qui donne la valeur de l'intégrale sur le cycle entier. Vérifier
aussi dans l'onglet 'Unités' que l'unité
correspondante(3) a bien été trouvée par le programme; sinon, la forcer en cliquant
sur l'icône , ou saisir celle-ci manuellement.
A. Acquisitions et transferts
Il faut réaliser plusieurs acquisitions en changeant la nature du
matériau magnétique placé dans la bobine.
Le logiciel d'acquisition étant ouvert, il faut lui 're donner la main' en cliquant sur
l'icône de Regressi (sert de bascule vers le programme
d'acquisition). Sinon, choisir 'Fichier /Nouveau /Nom d'interface' dans le menu de
Regressi. Dans les dernières versions de Regressi, il suffit d'ailleurs de demander 'Page
/Nouvelle' à partir d'une page déjà transférée. Après chaque nouvelle acquisition,
il faut évidemment choisir 'Nouvelle page' dans la boîte de dialogue sur le transfert,
pour pouvoir comparer dans Regressi les différentes pages d'acquisition à l'intérieur
d'un même fichier(4). Il faut également
penser à indiquer sous forme de commentaire la nature du matériau courant dans la boîte
de dialogue de transfert; sinon, il n'y aura qu' à le saisir a posteriori dans la
ligne de saisie située à droite de la barre principale d'icônes de la fenêtre
logicielle de Regressi. Lors de chaque importation de nouvelle page d'acquisition dans
Regressi, la grandeur représentant l'aire du cycle d'hystérésis est calculée
automatiquement. Il n'y a plus qu'à comparer sa valeur entre les différentes pages.
La navigation entre les pages s'effectue par clic-G sur les flèches 'Magnétoscope'    situées
dans la barre principale d'icônes de la fenêtre logicielle (ou bien par les raccourcis
clavier F7 /F8).
B. Comparaison des cycles entre eux
La superposition des différents cycles obtenus facilite leur
comparaison. Il suffit de cocher 'Superposition de pages' dans une des boîtes de dialogue
'Coordonnées' ou 'Options' obtenues par clic-G sur les icônes respectives ou , ou bien par clic-D dans la
fenêtre 'Graphique' (menu contextuel). L'icône ,
accessible dans les boîtes précédentes ou dans la barre principale d'icônes de la
fenêtre programme, permet de sélectionner (en cochant la case correspondante) parmi
toutes les pages d'un même fichier celles à superposer.

Charger le fichier
Regressi
Un clic-G sur l'icône d'identification
des pages affiche automatiquement sur le graphique leur signification sous forme de
légende. La position de ces légendes et des flèches correspondantes peut être
modifiée par cliquer-glisser du pointeur quand il se transforme en 'main' au survol des
zones 'sensibles'.
C. Comparaison des matériaux entre eux
 | L'air et l'aluminium sont des matériaux linéaires, sans saturation
possible, de perméabilité magnétique absolue beaucoup plus faible que les autres, dits
ferro(ferri)magnétiques. |
 | Le fer feuilleté (qui constitue le noyau coulissant des inductances
réglables) ne présente pas d'hystérésis visible, ni d'amorce de saturation à 1 A: il
convient donc parfaitement pour ces bobine utilisées par ailleurs en courant alternatif
et se comportera linéairement. |
 | La ferrite offre les mêmes avantages (donc pas de pertes par
hystérésis en H.F. si on l'emploie dans les noyaux de bobines P.O./ G.O.). Comme c'est
de plus un isolant électrique (tester un bâton de ferrite avec les cordons d'un
ohmmètre), elle ignorera aussi les pertes par courants de Foucault lors du même usage en
H.F.! En résumé, pas de 'pertes fer' dans ce composite. |
 | L'acier dur qui constitue les outils possède à la fois:
 | un champ rémanent élevé, et conviendra donc bien pour fabriquer des
aimants permanents |
 | une excitation coercitive importante, ce qui signifie qu'il sera
difficile à désaimanter. |
|
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cours

(1) Il
est bien évident qu'on aura ainsi seulement une valeur approchée, et sous évaluée, du
champ réel à l'intérieur du matériau
(2) validation
possible aussi par une double frappe de la touche 'Entrée' (une simple frappe provoque un
retour à la ligne comme dans un traitement de texte)
(3) la
gestion des unités ayant été progressivement perfectionnée depuis la création de
Regressi, elle peut différer suivant la version utilisée
(4) si
des acquisitions ont été faites par erreur dans des fichiers différents, il est
toujours possible de les réunir ultérieurement dans un seul fichier par la commande
'Fichier/Fusionner' |